Dans le métro entre Kottbusser Tor et Boddinstr., j'étais assise en face d'un homme inhabituellement beau, le visage très symétrique, des pommettes et un menton un peu grossiers, comme sculptés dans du bois avec un ciseau trop grand, équilibrés par un long nez droit dont les ailes s'écarquillaient de temps en temps ; ses cheveux blonds se séparaient le long d'une raie parfaitement dessinée et encadraient un front presque prétentieux, ses yeux clairs parcouraient très doucement les pages d'un livre de Schopenhauer, et aux pieds il portait ça :
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