mardi 4 mars 2014

La plus grosse bitte du monde


Lecteur, mon petit faon, ça faisait un petit moment que je ne t'avais pas gratifié de tes perles. Cadeau :
 photo compilstats2_zps29f5ba94.jpg
Et au fait, il faut que je te dise, je te quitte. C'est jamais facile, une rupture, c'est jamais le bon moment, et les mots qu'on choisit ne sont jamais les bons. Ne le prends pas contre toi surtout, tu as été un lectorat formidable. C'est moi qui manque de maturité, j'ai du mal avec les relations longues, et la notre dure depuis presque quatre ans. C'est trop.  J'ai besoin d'aller frotter mes seins à d'autres fenêtres. Je vais probablement ajouter un petit onglet avec des bonnes adresses à ma barre de navigation, histoire que la dépouille de ce blog ait au moins un intérêt informatif pour tous les jeunes gens sophistiqués qui viennent passer un week-end à Lloret del Mar Berlin et n'ont pas envie de se taper la lecture barbante et mainstream des guides touristiques habituels.
Allez, salut !

7 commentaires:

  1. Comment ça tu nous quitte ? T'étais un fabuleux filet anti- pornographie ! Tous les pervers tombaient sur ton blog au lieu de sites de cul !
    Plus sérieusement, pardon ?!

    Yann

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  2. Très chère Morille,

    Ce fut bref, et lumineux, et intense, et étincelant, comme souvent lorsque le calamus de la plume blanche se frotte au goudron revêche à l’aspect rocailleux de nos attentes sans cesse renouvelées sur le chemin infécond de la reconnaissance inutile, poils aux volatiles.

    Je connais ces adieux, ô oui, je les connais, ils se désirent définitifs, ils se veulent irrévocables, comme la plume rocailleuse sur le goudron blanc de nos espoirs infertiles sur les chemins de la gloire ; mais ils ne le sont jamais, poils au nez. Car non, tu ne pars pas, tu es encore là je le sais, tu reviendras très bientôt, à l’instar de la rocaille sous la plume qui jonche le chemin de goudron de nos expectances insensées. Ce n’est qu’un au-revoir, mes frères, ce n’est qu’un au-revoir.

    PS: Ca fait un bail que tu n'es plus passée chez moi. Tu boudes ? Je profite d'ailleurs de l'occasion qui m'est accordée pour te féliciter pour ce mot laissé il y a quelques temps sur ton site et que je n'avais à l'époque pas commenté : "Le sol vibrait sous mon cul".
    Bref, tu me manqueras, toi et tes petites phrases.

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  3. Han :(
    Bon bah je sais pas encore quand je passerai à Berlin, mais change pas de mail ou garde ton twitter si tu veux ton chocolat chaud bien mérité.
    Bonne continuation, je te garde quand même dans mes rss si jamais tu reviens aux affaires.

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  4. Mais tu continueras à poster des dessins ailleurs quand même? ils sont bien tes dessins (pas que les écrits soient pourris hein, c'est pas ce que je dis).

    Sinon pour les guides sur Berlin de qualité, en voici un http://www.spottedbylocals.com/berlin/

    Au plaisir.

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  5. Mais ?! C'est une blague ? Rassure ta mamie très vite.

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  6. magnifiques requettes de bot

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  7. Mes chers petits, merci pour vos gentils mots. Tu n'as pas tort, Gonzague, versatile comme je suis, il n'est pas improbable que je revienne un jour aux affaires (d'ailleurs, hier j'ai failli rechuter, c'est comme si tous les Berlinois s'étaient donné le mot pour jouer des saynètes incroyables sous mon nez, j'en ai rempli 6 pages de carnet de croquis), mais pour l'instant, non, je suis occupée à d'autres machins.

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