Ne vous en faites pas, c'est pas pour toujours. Dès que les pintes à 5,50€ en Happy Hours auront eu raison de mon Livret Bleu, dès que j'aurai fini de jouer à la rock star en faisant des illustrations non rémunérées pour des magazines qui écrivent à la première personne et dès que ma directrice de mémoire aura retrouvé ma trace, je reviendrai prendre possession de mon vaste loft berlinois meublé de formica.
D'ici là, je vais me déguiser en blogueuse parisienne, et peut-être qu'avec un peu de chance je réussirai moi aussi, enfin, à me faire offrir des voyages en Polynésie.
On se revoit vite les filles, je vous aime très fort ! Cœur avec les doigts ;p
alors...
RépondreSupprimerle début d'une belle histoire (véritable), avec ce cœur à prendre ?
j'ai pas super envie de prendre ce coeur, et puis le mien est pas trop à prendre, là, présentement.
SupprimerWesh freron se croisera ptet aux puces, sisi
RépondreSupprimermé grav mon frer, grav.
Supprimerau moins il a des cheveux
RépondreSupprimeret dieu sait que c'est important.
SupprimerAinsi donc, après quelques simples heures de repos bien mérité je m’en reviens en ces lieux protéiformes et remarque ébaubi que mon commentaire :
RépondreSupprimer1. soit n’a pas été publié
2. soit a disparu dans les limbes 2.0 des internets, et ça, comme le chantait Michael Hirte, c’est quelque chose qui fait mal, qui fait mal.
Je disais donc, avant d’être interrompu dans mon élan par le web et cette nuit fiévreuse qui me vit une nouvelle fois vaincre des rêves peuplés de pieuvres géantes et d’interminables files d’attente devant le théâtre du Rond-Point, que quand tu parles de "Cœur avec les doigts ;p" je pense automatiquement à David Guetta.
http://houseplanet.dj/wp-content/uploads/2014/01/davidguetta.jpg
Et je n’aime pas penser, encore moins automatiquement, à David Guetta, qui est à la musique électronique ce que la musique électronique était à la Monarchie de Juillet.
Qui plus est je remarque, une nouvelle fois, que tes dédicaces s’adressent exclusivement à la gent féminine, comme cette citation hors contexte le démontre : "On se revoit vite les filles, je vous aime très fort !"
Et me demande donc, à l’instar des autres représentants masculins potentiellement présents sur ce globe, si je suis oui ou non bienvenu en ces lieux et si non, s’il me faut lentement songer à prendre la tête d’un mouvement de protestation en vue d’une revalorisation de notre statut.
En toute simplicité: <3
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